Pour bien conclure le mois : « Au fond, tu es pour eux comme un chanteur de charme doué d’une belle voix et accompagné d’une musique agréable. Ils écoutent tes recommandations mais ne les mettent pas en pratique. » (Ezékiel 33, 32)
Une réflexion personnelle sur un mot trop souvent galvaudé : « Le respect, on ne commence pas par l’exiger pour soi-même mais par l’accorder aux autres. » (Christophe Allemann)
A déguster : « J’ai un ami xénophobe. Il déteste à tel point les étrangers que, lorsqu’il va dans leur pays, il ne peut pas se supporter. » (Raymond Devos)
Pour la fête de la musique : « Le Seigneur me protège, il est mon bouclier. Du fond du cœur je lui ai fait confiance ; j’ai reçu du secours, j’ai le cœur en fête. Je veux chanter pour le louer. » (Psaume 28, 7)
La voie de la sagesse : « Personne ne saurait affirmer qu’il connaît Dieu en intégralité et en toute vérité ; échanger à propos de la religion réclame dès lors beaucoup d’humilité. » (La Vie Protestante)
Une réflexion qui s’inspire des lettres johanniques : « Sans l’amour de Dieu, nous ne sommes rien. Dieu est amour. » (un visiteur de l’église de Chêne-Pâquier)
Ecrit par une grande voyageuse, et déposé à Chêne-Pâquier par un/e autre adepte du voyage : « L’impossible recule devant celui qui avance. » (Ella Maillard)
Phrase laissée par un visiteur de l’église de Chêne-Pâquier, extraite d’une chanson d’Alain Souchon : « La vie ne vaut rien… mais rien ne vaut la vie ! » (Alain Souchon)
A méditer : « Tous les hommes ont les mêmes droits… mais du commun lot, il en est qui ont plus de pouvoir que d’autres. Là est l’inégalité. » (Aimé Césaire)
Avec une petite touche d’humour : « Je sais que mes droits s’arrêtent là où commencent ceux des autres. Mais est-ce ma faute si les droits des autres commencent si loin ? » (Mafalda, personnage de BD)
Une phrase pleine d’espoir écrite par un prisonnier latino-américain sur les murs de sa prison : « Ils auront beau écraser toutes les fleurs, ils n’arrêteront jamais le printemps. » (un prisonnier latino-américain)