Un condensé de 2 versets bibliques, qui donnent sens à un jour de deuil : « J’ai la certitude que rien ne peut nous séparer de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur. » (Romains 8, 38-39)
Une réflexion personnelle : « La vie étant toujours un équilibre fragile et précaire, il est important de pouvoir compter sur le soutien de Dieu. » (Christophe Allemann)
Laissé par un visiteur de l’église de Chêne-Pâquier : « Lorsque vous n’opposez plus aucune résistance à l’instant présent, vous entrez dans l’Être. Et dans cet Être où la Vie se révèle, tout est parfait. » (Eckart Tolle)
Sur le chemin de l’égalité : « La vraie république : aux hommes leurs droits et rien de plus, aux femmes leurs droits et rien de moins. » (Susan Anthony)
Une réflexion originale sur la liberté : « Etre libre, c’est être exempt de peur, et la liberté signifie une victoire sur la peur ». (Nicolas Berdiaeff)
Déposé à l’église de Chêne-Pâquier : « Beaucoup de personnes qui, à beaucoup de petits endroits, font beaucoup de petites choses, peuvent transformer le monde. » (proverbe africain).
Un hymne à l’amour : « Toute l’eau des océans ne suffirait pas à éteindre le feu de l’amour, et toute l’eau des fleuves serait incapable de le noyer. » (La Bible, Cantique des cantiques 8, 7)
De quoi faire réfléchir : « On reproche aux animaux leur bestialité. Il serait beau de pouvoir reprocher à tous les hommes leur humanité. » (Stefan Wittlin)
Aujourd’hui, je vous propose une devise qui pourrait être celle de Sam, l’un des personnages de la trilogie « Le Seigneur des Anneaux » : « Je crois bien davantage à l’esprit de service qu’à l’ambition personnelle. » (devise moderne anonyme)
Pour ne pas se figer dans ses convictions, il est bon de se laisser remettre en question, notamment par ces paroles de chanson : « Abderahman, Martin, David, et si le ciel était vide ? » (Alain Souchon)
Une alternative au mythe de la croissance perpétuelle : « L’égalité n’existera que lorsque chacun produira selon ses forces et consommera selon ses besoins ». (Louis Blanc)
Manifestement la quête de l’égalité dure depuis des siècles : « Une moitié de l’espèce humaine est hors de l’égalité, il faut l’y faire rentrer : donner pour contrepoids au droit de l’homme le droit de la femme ». (Victor Hugo)
La conclusion du triptyque de la réflexion « wieselienne » sur le fléau de l’indifférence : « Et l’opposé de la vie, ce n’est pas la mort, mais l’indifférence. » (Elie Wiesel)
Ce proverbe fait partie de la sagesse universelle : « La terre ne nous a pas été donnée par nos parents ; elle nous est prêtée par nos enfants. » (proverbe africain)
C’est un survivant des camps de concentration qui le dit : « Les questions essentielles n’ont pas de réponse, elles unissent les gens ; ce sont les réponses qui les divisent. » (Elie Wiesel)